Du tableau à la photo.. il y a des millions de pixels d'écart.
La photo gaffe, la faute au graphe.
Instantané ou succédané ?
Moderne ou classique ?
Peinture à l'huile, à l'huile de coude, c'est de la Tour de main versus clic clac merci Kodak.
Tirage argentique ou numérique, en couleurs bibliques voire homériques.
Il faudrait choisir, la chambre noire contre la salle en clair-obscur, ou les Frères Lumière contre l'école altière ?
Ou bien ... le pinceau ou la pellicule ? Toile ou papier ? Mat ou brillant ?
Choisis ton camp , camarade Georges, mais moi c'est plutôt rouge que mort.
Réel contre imaginaire, c'est la course folle pour la reproduction, le nouveau-né est arrivé.
1 plus 1 = 3.
Alors, reproduction, reprographie et photocopie, vous aurez cinquante nuances de gris pour deux petites souris.
Le bébé dort en Technicolor, quand il la ferme on l'adore.
La bougie brûle par les deux bouts de la lorgnette : tu choisis la gouache qui tache ou encore le Leica, ce chien fidèle à objectif variable.
Nikon, Canon, Japon nous impressionnent la rétine, mais ce gosse attend sa tétine.
Toile de maître, à mettre au musée, le Louvre c'est à deux cents mètres. Exposition encadrée par le diamètre du focus.
BREF : photo grave, lumière tamisée ou tableau lourd, lumière atomisée.
Ni l'un , ni l'autre n'est le meilleur, les deux sont forts de café.
Tous les moyens sont bons, Alex et Lance.
Bravo, l'artiste !
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